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TEC

ELEC

ELECTRICITE

 

 

Le démarreur

I. Mise en situation

II. Fonction globale

III. Contraintes techniques

IV. Principe physique

A. Démonstration

B. Définition

V. Le démarreur

A. Déscription

(1). Générale

(2). Détaillée

B. Fonctionnement

(1). Phase d'appel

(2). Phase de maintien

VI. Diagnostic

A. Dynamique

B.Statique

VII. Evolution technologique

 

 

I. Mise en situation :

mise en situation demarreur

Légende
1 Batterie
2 Contacteur à clé
3 Relais de démarrage
4 Démarreur

 

Code des couleurs
  Circuit de commande cabine
  Circuit de commande
  Circuit de puissance
  Masse

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II. Fonction globale

fonction globale du demarreur

III. Contraintes techniques :

Afin d’assurer le démarrage du moteur il est nécessaire de :

Vaincre les résistances du moteur (frottements, compression, inertie, viscosité de l’huile)

Assurer un régime de rotation suffisant pour démarrer le cycle de fonctionnement.

Permettre un accouplement temporaire démarreur/moteur.

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IV. Principe physique mis en œuvre :

A. Démonstration

principe 1 principe2
animation conducteur simple  Animation moteur de base 

 

La force ainsi engendré est appelée force de Laplace.

La force de Laplace est orthogonale à la direction de l'intensité du courant et à celle du champ magnétique. main laplace

L'orientation de cette force résulte de l'application de la règle très connue des trois doigts (pour la main droite!):

Pouce: Sens du courant

Index: Champ magnétique

Majeur: Force de Laplace 

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B. Définition :

Un conducteur électrique soumis à un champ magnétique (ou champs d’induction) se voit animé d’un mouvement lorsqu’il est parcouru par une intensité.

La force animant le conducteur répond à la formule suivante :

F = Φ x I

F (force)en Newton

Φ (flux) en Weber

I (intensité) en ampère

Pour un moteur la formule est :

Cm = K x Φ x I

Cm (couple moteur) en N/m

K coefficient de construction

Φ (flux) en Weber

I (intensité) en ampère

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V. Le démarreur :

A. Description :

(1) Générale :

Le démarreur peut se diviser en trois grandes parties :

description du demarreur générale

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(2) Détaillée :

description du demarreur détaillé

1

Bague de guidage

8

solénoide

2

fourchette

9

nez

3

Pignon /roue libre

10

Ressort de compression

4

induit

11

Bague de guidage

5

inducteur

12

Ressort de balai

6

balai

13

carter

7

Porte balai

14

flasque

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B. Fonctionnement :

(1) Phase d’appel :

description de la phase d'appel

L’enroulement d’appel est alimenté.

L’enroulement de maintien est alimenté.

L’inducteur et l’induit ne sont pas alimentés.

Translation du lanceur.

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(2) Phase de maintien :

description de la phase de maintien

Il n’y a pas de différence de potentiel aux bornes de l’enroulement de maintien.

L’enroulement de maintien est alimenté.

L’inducteur et l’induit sont alimentés.

Rotation du lanceur.

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VI. Diagnostic

A. Test sur véhicule :

la pince ampèremétrique permet d'évaluer rapidement l'éfficacité du système de démarrage, comparez les valeurs d'intensitées relevées à celles du construteurs fournis une bonne indications de l'état du circuit de démarrage. placez la pince autour du fil de masse, cela vous permet de prebdre en compte l'ensemble de la consomation electrique du véhicule.

 

B. Test dynamique démarreur déposé :

(1) Contrôle du solénoïde :

controle dynamique du solenoide

 

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(2)Contrôle du moteur à courant continu :

controle dynamique du moteur

 

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(3) Contrôle de l’ensemble :

controle dynamique de l'ensemble

 

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B. Test statique :

(TP atelier)

(1) Contrôle au multimètre de l'inducteur :

multimetreinducuteur deposé pour controle statique

(2) Contrôle au multimètre des balais :

multimetrebalais deposé pour controle statique

(3) Contrôle au multimètre de l'induit :

multimetreinduit déposé pour controle statique

(4) Contrôle au multimètre du solénoïde :

multimetrecontrole statique du solénoïde

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VII. Evolution technologique :

Même si le principe du circuit de démarrage ne change pas intrinséquement, le démarreur adopte de nouvelles technologies notamment des relais de démarrage intégrés et un train épicycloïdale entre le moteur à courant continu et le pignon d'entrainement du volant moteur.

Cela permet d'utiliser des moteurs à courant continu tournants plus rapidement et possédant un meilleur rendement.

Le couple nécessairre à l'entrainement du moteur thermique est obtenu par la démultiplication via le train épicyloïdale, le moteur électrique ne supporte plus la totalité du couple (durée de vie des paliers augmentée)

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Sources : Bosch, Scania, Mitsubishi

Une doc ressource (in english of course) de chez Mitsubishi qui donne une base complete de diag